verse 1
Je rentre de galère et m'interroge, il fait si beau devant la glace.
Et puis le ciel est un galon, que je m'y balade, le temps de l'os.
Le long du lit, il y a le vice.
Mon corps se tourne et se retourne, je suis nerveux et je m'enlace.
Le sang afflue entre mes doigts, j'ai tous les droits et je m'embrasse.
Et puis le ciel est un galon, que je m'y balade, le temps de l'os.
Le long du lit, il y a le vice.
Mon corps se tourne et se retourne, je suis nerveux et je m'enlace.
Le sang afflue entre mes doigts, j'ai tous les droits et je m'embrasse.
chorus
Les yeux dissous, les poches moites, la nuit avance, mes gestes aussi !
Et le plaisir devient besoin, puis le besoin devient plausible.
Les mots sont loin de mes désirs, je suis debout avec mes draps.
Et le plaisir devient besoin, puis le besoin devient plausible.
Les mots sont loin de mes désirs, je suis debout avec mes draps.
verse 2
L'espace est alors acquis, j'arrive à terme et je frémis.
Même si je bloque, ça ira.
Mes bras sont des haltérophiles, j'ai trois essais dans ma loggia.
Dès lors, je suis vaincu et me retourne, tsss, ha !
Le sang coule entre mes doigts, j'ai tous les droits et je m'embrasse.
Même si je bloque, ça ira.
Mes bras sont des haltérophiles, j'ai trois essais dans ma loggia.
Dès lors, je suis vaincu et me retourne, tsss, ha !
Le sang coule entre mes doigts, j'ai tous les droits et je m'embrasse.
chorus
Les yeux dissous, les poches moites, la nuit avance, mes gestes aussi !
Et le plaisir devient besoin, puis le besoin devient plausible.
Les mots sont loin de mes désirs, je suis debout avec mes draps.
Et le plaisir devient besoin, puis le besoin devient plausible.
Les mots sont loin de mes désirs, je suis debout avec mes draps.
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