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AboutIssues d'un monde nordique, les Dales Hawerchuk représente l'aboutissement d'une série de circonstances grotesques menant à une fin du genre « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ». Dû a une flambé radicale du prix du baril de poutine brut de chez Capitaine Bobo
Bob sur les marchés Robervalois en 1996, une déportation en sol Montréalais fut requise pour combler la carence en gras trans qui semblais inévitable.
Sylvain, l'aîné du groupe, fut envoyé en éclaireur pour s'assurer de la viabilité de cette île surplombée d'un mur de raffinerie en signe de bienvenue. Fin poumon et dégustateur émérite, il s'adonna à l'analyse approfondie des moindres recoins de la ville, passant d'une Wildcat a un Cinzano entre 2 poffs de smogs all-dressed. Suite à 2 années de vie rocambolesques, il donna le feu vert aux rejetons robervalois qui ne se pouvais plus de connaître la joie de déguster une juteux Shish Taouk à 4 heures du matin. Pierre et Martin s'expatrièrent relativement en même temps mais dans des circonstances différentes.
À son arrivée Pierre fût cloîtré par une féministe nouveau genre à tendance extrémiste dans un gros 1-1/2 sur la rue St-Denis. Pendant quelques années, il fut forcé de regarder le hockey en pantoufles devant le spectacle désolant d'un gros matou qui crachait périodiquement de généreuses boules de pouel sur le tapis. Il pris 40 livres. Heureusement, une opération de libération périlleuse a été effectué par un organisation semblable au FLQ, mais à tendance sportive. Pierre fût sauvé et graduellement réintroduit socialement.
Martin, venant d'une planète parralèle à la nôtre, ne s'est pas déporté en région métropolitaine : il y a été faxé. Drainé cervicalement depuis son arrivé pour en diminuer significativement le flo de ses propos indécents, il a été un apôtre affirmé du dieu Zion où il progressa radicalement dans ses aptitudes relatives au striptease Slovaque. Ayant atteintatteint son paroxysme en 2002, il décida de se convertir professionnellement à la contrebande de caribou frelaté, solidement primé par tout ceux qui possède une parcelle d'agriculteur dans l'âme.
Sébastien a été le dernier à quitter le Lac. Après un buzz de 1 ans consécutif, il dégela tout à coups (avec le printemps) pour se rendre compte qu'il parlait de ski-doo depuis tout ce temps, sans toutefois en posséder les connaissances! Ahuri de cette découverte, il pris le premier transport disponible vers le sud mais ne réalisa qu'à Vaudreuil que Montréal venait de passer. Il s'y établi en l'espoir de jours meilleurs. Malheureusement, il fut contraint de s'annexer à la population standard montréalaise quelque années plus tard pour occuper plus de 14 appartements en moins de 3 ans, fracassant du même coups le précédent record détenu par Patrick Labbé suite à des complications intestinales hors de contrôle.
Été 2003, période record pour le nombre d'américain ayant franchis les limites de l'obésité, le quatuor sportif se forma par une succession d'aventures tavernières sans précédents. Pierre et Sylvain se rencontrèrent à l'impromptue au crépuscule matinal après une soirée forte en action, en odeurs et en produits fermentés. Ce fût la première discussion claire et sérieuse. Attentifs, tel des adolescents perdus devant un discours souverainiste, le Duo PornoPop (Martin et Sébastien), qui tentait à l'époque de percer dans le domaine de la musique pour films pornographiques ruraux, se réjouirent de s'associer à ce projet agréablement louche.
(source: www.lesdaleshawerchuck.com)
Bob sur les marchés Robervalois en 1996, une déportation en sol Montréalais fut requise pour combler la carence en gras trans qui semblais inévitable.
Sylvain, l'aîné du groupe, fut envoyé en éclaireur pour s'assurer de la viabilité de cette île surplombée d'un mur de raffinerie en signe de bienvenue. Fin poumon et dégustateur émérite, il s'adonna à l'analyse approfondie des moindres recoins de la ville, passant d'une Wildcat a un Cinzano entre 2 poffs de smogs all-dressed. Suite à 2 années de vie rocambolesques, il donna le feu vert aux rejetons robervalois qui ne se pouvais plus de connaître la joie de déguster une juteux Shish Taouk à 4 heures du matin. Pierre et Martin s'expatrièrent relativement en même temps mais dans des circonstances différentes.
À son arrivée Pierre fût cloîtré par une féministe nouveau genre à tendance extrémiste dans un gros 1-1/2 sur la rue St-Denis. Pendant quelques années, il fut forcé de regarder le hockey en pantoufles devant le spectacle désolant d'un gros matou qui crachait périodiquement de généreuses boules de pouel sur le tapis. Il pris 40 livres. Heureusement, une opération de libération périlleuse a été effectué par un organisation semblable au FLQ, mais à tendance sportive. Pierre fût sauvé et graduellement réintroduit socialement.
Martin, venant d'une planète parralèle à la nôtre, ne s'est pas déporté en région métropolitaine : il y a été faxé. Drainé cervicalement depuis son arrivé pour en diminuer significativement le flo de ses propos indécents, il a été un apôtre affirmé du dieu Zion où il progressa radicalement dans ses aptitudes relatives au striptease Slovaque. Ayant atteintatteint son paroxysme en 2002, il décida de se convertir professionnellement à la contrebande de caribou frelaté, solidement primé par tout ceux qui possède une parcelle d'agriculteur dans l'âme.
Sébastien a été le dernier à quitter le Lac. Après un buzz de 1 ans consécutif, il dégela tout à coups (avec le printemps) pour se rendre compte qu'il parlait de ski-doo depuis tout ce temps, sans toutefois en posséder les connaissances! Ahuri de cette découverte, il pris le premier transport disponible vers le sud mais ne réalisa qu'à Vaudreuil que Montréal venait de passer. Il s'y établi en l'espoir de jours meilleurs. Malheureusement, il fut contraint de s'annexer à la population standard montréalaise quelque années plus tard pour occuper plus de 14 appartements en moins de 3 ans, fracassant du même coups le précédent record détenu par Patrick Labbé suite à des complications intestinales hors de contrôle.
Été 2003, période record pour le nombre d'américain ayant franchis les limites de l'obésité, le quatuor sportif se forma par une succession d'aventures tavernières sans précédents. Pierre et Sylvain se rencontrèrent à l'impromptue au crépuscule matinal après une soirée forte en action, en odeurs et en produits fermentés. Ce fût la première discussion claire et sérieuse. Attentifs, tel des adolescents perdus devant un discours souverainiste, le Duo PornoPop (Martin et Sébastien), qui tentait à l'époque de percer dans le domaine de la musique pour films pornographiques ruraux, se réjouirent de s'associer à ce projet agréablement louche.
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