(Alfonso Luis Gonzalez/Jairo) adaptation française Yves Simon
Tu dis les mots du temps qui passe, les mots des gens qui tremblent
Pour un enfant parti dans un avion si loin, mais que l'on attend.
Tu dis les mots de solitude qui gravent quelques rides
Ou caressent ma vie comme une étoffe tendre ou l'eau de pluie.
Et tu dis, et tu dis des mots qui rassurent et caressent ma vie
Et tu dis des mots jamais dits, tes mots caressent ma vie.
Tes mots caressent ma peau, tes mots caressent ma vie, ma vie.
Tu dis les mots de certitude
Des mots de solitude qui marchent dans le noir
En écoutant les cris des oiseaux de nuit.
Et tu dis, et tu dis des mots qui rassurent et caressent ma vie
Et tu dis des mots jamais dits, tes mots caressent ma vie.
Tes mots caressent ma peau, tes mots caressent ma vie, ma vie.
Tu dis les mots du temps qui passe, les mots des gens qui tremblent
Pour un enfant parti dans un avion si loin, mais que l'on attend.
Tu dis les mots de solitude qui gravent quelques rides
Ou caressent ma vie comme une étoffe tendre ou l'eau de pluie.
Et tu dis, et tu dis des mots qui rassurent et caressent ma vie
Et tu dis des mots jamais dits, tes mots caressent ma vie.
Tes mots caressent ma peau, tes mots caressent ma vie, ma vie.
Tu dis les mots de certitude
Des mots de solitude qui marchent dans le noir
En écoutant les cris des oiseaux de nuit.
Et tu dis, et tu dis des mots qui rassurent et caressent ma vie
Et tu dis des mots jamais dits, tes mots caressent ma vie.
Tes mots caressent ma peau, tes mots caressent ma vie, ma vie.
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