J'ai le vent en pourpre, ce vent qui m'effleure un peu.
La pluie d'un mois d'août glisse sur mes longs cheveux.
Je sais pas pourquoi, je me sens si seul sans toi.
La pluie d'un mois d'août glisse sur mes longs cheveux.
Je sais pas pourquoi, je me sens si seul sans toi.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
Au bord des côtes, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Au bord des côtes, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Dans tes champs d'hermine, une histoire vieille comme les hommes.
Tu es mes racines quand tes bagads résonnent.
Je pense à toi, tes plages, tes paysages pour seul visage.
Tu es mes racines quand tes bagads résonnent.
Je pense à toi, tes plages, tes paysages pour seul visage.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
Au bord des côtes, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Dédicace, dédicace, dédicace, oh, Bretagne dédicace.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
Au bord des côtes, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Ton ciel me manque, ta marée basse.
En haut d'un phare, je te contemple, oh, Bretagne dédicace.
Dédicace, dédicace, dédicace, oh, Bretagne dédicace.
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